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Politique

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UN BIJOU D’IRRESPONSABILITÉ

Le cambriolage des sublimes bijoux royaux du 19ème siècle intervenu au Louvre dimanche matin dépasse largement le cadre du fait divers. Compte tenu à la fois de la nature des trésors volés, du lieu mondialement connu et de l’émotion suscitée, cet évènement restera comme l’un des évènements marquants de l’année. Mais pour notre directeur de la rédaction, Edouard Boccon-Gibod, stupéfait de l’irresponsabilité des tutelles du Louvre qui ne cessent de se justifier plutôt que d’assumer, ce vol prend une autre ampleur car il est un nouveau révélateur d’un mal bien français : la confiscation par les élites administratives et politiques d’un pouvoir qu’elles n’exercent pourtant qu’au nom de l’ensemble des citoyens. En d’autres termes si notre démocratie fonctionnait encore correctement, la Présidente du Louvre et la Ministre de la Culture auraient déjà dû démissionner.

L’article 47-3 de la Constitution : mode d’emploi

Les conditions des première et deuxième nomination à Matignon de Sébastien LECORNU laissent penser qu’il sera à tout le moins difficile pour le gouvernement de faire adopter, faute de majorité stable, un budget par le Parlement dans les délais prévus par la Constitution. L’hypothèse où la loi de finances pour 2026 ne pourrait pas être adoptée dans les délais prévus par le texte constitutionnel ne peut, en tout état de cause, pas être écartée.

Un soleil d’automne, loin des fureurs

Vendredi 10 octobre, 16h51, la grande porte du Palais de l’« Élysée » vient de s’ouvrir. On relâche les participants à cette réunion de la dernière chance, le suspens est à son comble, « la situation est inédite et l’heure est décisive ». Silence des protagonistes, les chefs de partis, à la sortie du palais,  conscients malgré eux de la lourde charge qu’ils convoitent et qu’ils craignent.

Le Joueur

Comme un jeu dans un casino, comme une boule jetée qui roule et tourne, comme un tapis de cartes masquées, comme un match sans fin, le jeu s’impose dans la pratique politique et médiatique. Les deux sont devenus duos, partenaires et adversaires mais liés dans la frénésie des annonces et des propos. Ça bluffe, ça prétend, ça affirme, ça hausse le ton les yeux dans les yeux des écrans multipliés.

Tempête dans le PAF

Le paysage audiovisuel français désormais bouleversé par les innombrables réseaux où se diffusent le tout et le n’importe quoi connait une tempête prévisible. La place des radios et télévisions de Service public prépondérante en nombre et en audience (pour la radio) est dans le viseur de groupes privés depuis longtemps. Jadis TF1 s’agaçait d’un Service Public trop protégé par la loi et donc à l’abri de la concurrence. Ce qui n’est plus le cas. Aujourd’hui les raisons de la tempête sont éminemment plus idéologiques.

Le résultat résulte …

« Un poète est un monde enfermé dans un homme », Victor Hugo. Où que porte son regard, quel que soit l’événement qui accapare son attention, en dépit de ses propres convictions, un poète fait sien ce qu’énonce le grand écrivain. Notre cher Jean Brousse ne fait pas exception à la règle. Il propose une version poétique de notre actualité. Un regard libre de toutes contingences. Avec, pour seul parti-pris, ses chères collines corréziennes. Y compris quand il s’agit d’évoquer ce début d’année politique, pas vraiment des plus rassurantes…

Le président et Notre-Dame 

Pris dans la tourmente politico-financière dans laquelle le pays tente de s’extraire, passées les émouvantes cérémonies de la résurrection de Notre-Dame, les Français sont déjà passés à autre chose. Comme si, ce qui fut un exploit unique jusqu’alors, n’était qu’une péripétie de plus. Il faut la conscience de la sociologue Dominique Schnapper pour revenir sur quelques vérités trop vite oubliées.

De l’Impuissance en Politique 

« Un Himalaya de difficultés », c’est ainsi que François Bayrou résume la tâche qui l’attend maintenant. À force de coups de boutoir tout au long de sa carrière, la porte de Matignon a fini par lui céder. Il y entre en même temps qu’une foule de problèmes dont chaque camp a sa part de responsabilité. Il fallait donc un journaliste direct dans ses propos et sans concession sur le fond, Patrick Boyer, pour évoquer la pétaudière dont le Premier ministre hérite.

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