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Société

Un soleil d’automne, loin des fureurs

Vendredi 10 octobre, 16h51, la grande porte du Palais de l’« Élysée » vient de s’ouvrir. On relâche les participants à cette réunion de la dernière chance, le suspens est à son comble, « la situation est inédite et l’heure est décisive ». Silence des protagonistes, les chefs de partis, à la sortie du palais,  conscients malgré eux de la lourde charge qu’ils convoitent et qu’ils craignent.

Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir

Dans une récente interview aux Échos, Laurent Guillot, directeur général d’Emeis (ex Orpea), plaide pour une immigration choisie afin de répondre aux besoins pressants de main-d’œuvre dans le secteur du grand âge, en citant l’exemple de l’Autriche. On peut sourire de voir ce message émaner du responsable d’une entreprise qui est encore marquée par les scandales.

Une place dans le train de 16 heures 15

Ça a fait « Pchitttttt », comme l’aurait dit avec gourmandise en son temps Jacques Chirac ! Presqu’aucune « Une » de la presse quotidienne nationale ou régionale n’évoque un quelconque blocage suite à ce mot d’ordre mystérieux lancé par un non moins mystérieux mouvement vite récupéré par les promoteurs professionnels du chaos …

Dangers sur la rentrée sociale 

La France entre dans une zone de turbulences dont l’histoire récente offre peu d’exemples. Le climat est chaotique, préoccupant : impuissance criante face aux coups de force des « nouveaux empires », président affaibli et qui a déjà brûlé bien des cartouches institutionnelles, Premier ministre impopulaire, bien au-delà des records, mais campé en Cassandre et en kamikaze : déficits abyssaux et procédure budgétaire déjà menacée par la chute, plus que probable, du gouvernement…  

Un Automne en pente douce 

Les hordes de vacanciers sont – presque – toutes rentrées vers Paris ou la région parisienne, et dans les métropoles locales. Bison futé n’y a vu que du noir bien foncé. Il peut maintenant se reposer jusqu’au weekend de la Toussaint. On a rangé les maillots de bain, les bermudas, les tee-shirts colorés et les…

Épisode 2 : Baudelaire et « Les fleurs du mal »

Six mois ont passé lorsque le 21 août 1857, la même 6ème Chambre du Tribunal correctionnel de la Seine se réunit pour juger Charles Baudelaire. Celui-ci, alors âgé de 36 ans, n’est connu que d’un cercle parisien très restreint et vient, après plusieurs années de labeur, de mettre enfin un terme à son recueil de poésie, qui reprend des textes composés depuis 1840.

1857 : la littérature en procès – I

Le romancier a-t-il le droit de tout dire au motif qu’il écrit une œuvre de fiction ou doit-il respecter des bornes dont l’absence de prise en compte compromettrait l’ordre social ? Cette question, qui amène à s’interroger sur l’existence de limites à la liberté d’expression, est aujourd’hui au cœur de l’actualité. Elle a, cependant, donné lieu, dès le milieu du XIXème siècle à des procès retentissants.

Jour de fête en Corrèze et autres considérations du moment

C’est la fête au village, à Treignac, bourg médiéval au bord de la Vézère, ancien chef-lieu de canton, le siège de la nouvelle communauté de communes née de l’esprit fécond de quelque décentralisateur patenté, « petite cité de caractère », ex « plus beau village de France », à quelques encablures de mon jardin.

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