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Le Vrai et le Faux 

Quelle que soit la nature du régime politique « revendiquée », dans la plupart des états aux tropismes impérialistes, des oligarques s’ingénient à revêtir les oripeaux d’une respectabilité dont le vernis est bien mince. La « zone grise » inquiète de plus en plus les hommes de bonne volonté. Parmi eux, le journaliste Claude Sérillon, qui débusque méthodiquement l’hypocrisie rampante de la ploutocratie et de sa toile tissée patiemment… Dangereusement !

L’Union Européenne & Trump 

Les Européens sont comme médusés par les premiers pas du nouveau pouvoir américain, en place depuis le 20 janvier 2025. De quoi cette sidération est-elle le signe ? Tout d’abord d’une incrédulité et d’un vertige face à la solitude. Ensuite, de l’effarante nouveauté des défis qui les menacent et qu’ils ont à relever. L’Amérique trumpienne et la Russie de Poutine sont deux problèmes neufs et actuels. Le premier au 20e siècle, la guerre froide, et l’avant-première guerre mondiale des impérialismes n’aident que très partiellement à les saisir et à les affronter.  

Le trumpisme : de l’ère néolibérale au capitalisme féodal 

Le trumpisme apparaît de prime abord comme une doctrine politique peu cohérente, marquée par les intérêts contradictoires des supporters de Trump. Pourtant, les déclarations du nouveau président des États-Unis et ses premières décisions dévoilent une intention claire en opposition totale avec la gouvernance néolibérale qui prévalait jusque-là. Le problème est que cette fin du néolibéralisme pourrait signifier le retour d’un régime de type féodal incompatible avec les principes démocratiques.

Etats-Unis : la résurgence des “barons voleurs” 

Les liens entre milieux économiques et monde politique ont toujours été étroits outre-Atlantique mais rarement hommes d’affaires n’avaient été aussi proches du pouvoir exécutif qu’Elon Musk et ses amis de la Silicon Valley, écrit Gilles Sengès qui a suivi de près l’actualité américaine ces dix dernières années. Donald Trump a choisi une douzaine de milliardaires pour former une partie de son administration. 

Le climat ! le climat ! 

C’est le climat qui a été le parent pauvre du discours de François Bayrou. Dans une myriade d’urgences, l’écologie ne voyage pas en première classe. Grave erreur, estime Claude Sérillon. Notre environnement devrait être l’alpha et l’oméga de nos préoccupations. La mémoire courte des peuples a déjà oublié ce que, depuis plus d’une dizaine d’années, les scientifique martelaient : « ce n’est pas la terre qu’on est en train de faire disparaitre, c’est la race humaine ». Les Californiens en ont, en ce moment, un avant-goût amer.

Vox populi, pas forcément vox Dei

Il y a une dizaine d’années, l’humoriste et comédien, Kad Merad et son complice Olivier Barroux, avaient créé le personnage de « Jean-Michel Àpeuprès ». Incapable de finir ce qu’il avait commencé, toujours à contre-temps, il était le symbole du loser qui fait toujours le mauvais choix. Pressé par le temps ou absence de vision ? Qu’importe, #Patrick Boyer fait le  triste constat d’un florilège de plantades de la part des gouvernants les plus importants au monde… Et des peuples qui les ont choisis !

La démocratie américaine, du Capitole à la Roche Tarpéienne

Au sortir d’un meeting de Donald Trump devant la Maison Blanche, le 6 janvier 2021, pour dénoncer le “vol” dont il a été victime lors de l’élection présidentielle de novembre 2020, un bon millier de personnes prennent d’assaut le bâtiment où le Congrès des Etats-Unis s’apprête à confirmer la victoire de Joe Biden. Gilles Sengès qui a suivi la politique américaine, ces dix dernières années, pour le compte de L’Opinion, rappelle l’ampleur de cet événement considéré par beaucoup comme une quasi-tentative de coup d’Etat. 

Trump 1-Trump 2, écoutez la déférence

Contrairement à la première fois, en 2017, Donald Trump va arriver à la Maison Blanche avec une équipe à sa main. Et un boulevard devant lui.  Surpris par sa victoire à l’élection présidentielle de 2016, Donald Trump avait dû composer son administration en s’appuyant sur un parti républicain encore modéré. Le 20 janvier prochain, il arrivera à la Maison Blanche avec un gouvernement, un Congrès et une Cour Suprême totalement acquis à sa cause. Gilles Sengès qui a suivi la politique américaine ces dix dernières années pour le compte de L’Opinion revient sur cette mutation. 

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