Partager cet article
Le président américain qui aurait accru sa fortune de 1,6 milliard de dollars durant son premier mandat en a déjà engrangé plus, selon les estimations, depuis son retour au pouvoir le 20 janvier dernier. Et l’homme se montre plus que jamais insatiable.
“Ce qui est bon pour General Motors est bon pour l’Amérique et réciproquement”
En remplaçant le nom du constructeur automobile par le sien, Donald Trump pourrait paraphraser la célèbre réponse de Charles Erwin Wilson aux sénateurs qui l’interrogeaient, en 1954, sur un éventuel conflit d’intérêt entre le poste de secrétaire d’État à la Défense des Etats-Unis auquel il était candidat et sa précédente présidence de General Motors ; bénéficiaire à l’époque de très gros contrats d’armement. Contraint de céder ses actions GM, Charles Erwin Wilson sera, in fine, nommé à la tête du Pentagone où il restera jusqu’en octobre 1957 dans un gouvernement républicain, présidé par Dwight Eisenhower.
Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite, abonnez-vous
Profitez d'un accès illimité à l'ensemble de nos contenus en ligne et toutes nos newsletters.
Découvrir nos abonnements