Au moment de la crise sanitaire, et s’agissant de l’impact prévisible du confinement sur la croissance de l’économie, Le Figaro écrivait que « la France ne devait pas mourir guérie » ; après un « départ hors normes », comme le directeur général de LFP Media Nicolas de Tavernost, l’a qualifié, l’enjeu est proche pour le service Ligue 1+, et plus généralement pour le football français : transformer l’engouement populaire retrouvé en trajectoire économique équilibrée.
Économie
Dans un communiqué publié le 2 septembre, Canal+ indique « être entré en négociations exclusives avec UGC pour l’entrée au capital de l’acteur historique du cinéma français (à hauteur de 34%). Dans un deuxième temps, les accords avec les actionnaires d’UGC permettraient au groupe CANAL+ de prendre le contrôle d’UGC à partir de 2028 ». La valorisation retenue pour l’opération n’a pas été indiquée, et les dernières données accessibles s’agissant du chiffre d’affaires d’UGC (225,1 M€) portent sur l’année 2021 et sont donc marqués par l’impact de la crise sanitaire. En termes d’intégration verticale, le rachat d’UGC permettra à Canal+ de devenir le 3e exploitant en France, et il pourrait aider à l’international à soutenir le développement de Canal Olympia. Ensemble, Canal+ et UGC pourront également prétendre à la 5e position pour la distribution de films en salle, au 8e rang – devant Fremantle – en termes de volume de production audiovisuelle, ou encore à un catalogue de droits qui accélérera sa marche vers les 10 000 titres. L’annonce, qui survient moins de 6 mois après l’entrée de la famille Saadé au capital de Pathé, complète le changement de génération à la tête du cinéma français.
La musique générée par intelligence artificielle (IA) ne représente encore qu’une infime part des écoutes sur des plateformes comme Spotify ou Deezer. Beaucoup dans l’industrie estiment que la musique IA n’aura jamais d’attrait grand public, jugée trop impersonnelle ou sans âme. Pourtant, l’exemple du groupe The Velvet Sundown montre que la réalité est en train d’évoluer.
Entre les turbulences de la politique américaine et le découplage sino-américain, la stagflation menace et les entreprises françaises se trouvent face à un double défi, financier et stratégique. Comment repenser leurs modèles, préserver leur compétitivité et transformer cette contrainte en opportunité d’innovation ?
Dès fin mai, dans les petits déjeuners de la gentry économique parisienne, au premier étage du café de Flore ou dans les jardins du Plazza Athénée, la question est rituelle : « On se voit à Aix ? ». Aix en Provence, où chaque année, lors du premier week-end de juillet, depuis vingt-cinq ans, se réunit la fine fleur des patrons du CAC 40, quelques ministres en vue, des leaders syndicalistes et les meilleurs économistes français, européens et au-delà, à l’invitation de Jean Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des économistes, et président des « Rencontres économiques d’Aix ».
Lors de la signature d’un nouveau client ou partenaire, il est indispensable de s’assurer de sa réputation. Et, cela commence par la vérification de sa bonne santé financière ! Cette démarche permet non seulement d’anticiper les risques d’impayés, mais aussi de sécuriser votre relation commerciale à long terme : une étape pourtant trop souvent négligée.
Le 4 octobre 1945, la signature des ordonnances créant la sécurité sociale par le Gouvernement provisoire de la République française marque un tournant historique. Soutenue par la forte croissance économique des Trente glorieuses, financée par le travail et assise sur la solidarité et la mutualisation des risques sociaux, ce modèle social a permis un progrès social sans précédent dans notre pays.
Nous sommes en visite à Boden, chez Stegra, le plus grand projet industriel actuel en Europe, chantier permanent encore au milieu du gué, mais ça bosse ! La nuit ne tombe plus sur ce site, non seulement parce que à cette latitude il ne fait plus nuit fin juin, mais aussi parce que les lumières des chantiers sont en mode permanent. 3000 personnes, des dizaines de contractants.
La fête fut même très belle. Une belle fête populaire avec un public toujours aussi passionné et émerveillé au rendez-vous. Le Salon du Bourget, qui s’est tenu la semaine dernière, plus grand salon aéronautique du monde (2400 exposants de 48 pays, 155 aéronefs), a néanmoins traversé quelques turbulences. Il a su les surmonter dans un contexte plus complexe que jamais. Alors, vive l’avion !
Nouvelle contributrice et nouvelles compétences pour l’équipe de Sans doute. Maï-Linh Camus, ancienne officier de l’Armée de Terre et fondatrice d’un cabinet de renseignement d’affaires nous alerte. La recrudescence des cyber-attaques touche maintenant nombre de PMI-PME, voire des TPE dites « sensibles » de par leur spécialisation ou leurs recherches. Qu’il s’agisse de se développer à l’étranger,…