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Économie

TNT : les ressorts cachés du grand chambardement 

D’un point de vue factuel et purement quantitatif, l’évolution que le paysage audiovisuel connaîtra ce vendredi 6 juin reste limitée. Ramenées aux 25 chaînes de la TNT gratuite, les arrivées, immédiates pour T18, et à suivre le 1er septembre pour Novo 19, portent sur moins de 10% du line-up. 

Le social en France ou Gulliver empêtré

En 1968, Stanley Hoffman, le plus français des politologues américains, publiait un essai appelé à un grand succès : « Gulliver empêtré ». Il y démontrait comment le Président des Etats-Unis, l’homme le plus puissant du monde, voyait, même en politique étrangère, pourtant le fruit d’un choix souverain dégagé des forces intérieures, ses décisions et ses possibilités contraintes. Soixante ans après environ, mutatis mutandis, les dirigeants français sont dans une même situation d’empêtrement social.

La juste fin de la mondialisation – IV

Après l’industrie et la finance, comment allons-nous réagir, nous, Français et Européens, contre la domination numérique des États Unis que nous avons consentis dans cette forme contemporaine de « servitude volontaire » décrite avec profondeur par Étienne de la Boétie (1530-1563). Nous savons que cette servitude numérique est la cause de nos malheurs.

La juste fin de la mondialisation -III

Dans les deux précédentes parties ont été actées la fin de la mondialisation et la naissance d’un eco-souverainisme. Il est maintenant nécéssaire de se poser la question de la contagion protectionniste au système financier. Celle-ci parait inéluctable puisque nos différentiels de croissance entre les États-Unis et l’Union Européenne, notre vassalisation numérique capturant la valeur et les différentiels de capitalisation boursière qui en découlent, conduisent notre épargne à migrer et alimenter l’investissement de l’autre côté de l’Atlantique plutôt que chez nous.

La finance peut-elle sauver le climat ? Non. 

Il y a une petite décennie, en plein essor de la finance « durable », les coalitions se succédaient pour annoncer des engagements considérables de fléchage des investissements futurs et des positions toujours plus strictes sur les critères ESG (critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) à appliquer aux investissements. 

La juste fin de la mondialisation-II

Une politique de souveraineté, c’est « une Nation décide librement, et ne veut plus dépendre des autres ». Vous avez observé une apparition récurrente dans les intitulés ministériels en France. Dans ce tourniquet enivrant des ministres -une sorte de nouvelle IVe République à l’intérieur de la Ve où les ministres changent tous les mois- il n’y a qu’une chose qui ne change pas : le mot souveraineté.

La juste fin de la mondialisation-I

Le 19 mars dernier, Arnaud Montebourg a prononcé à l’institut Rexecode, un institut privé d’études économiques au service du développement des entreprises, un discours fondateur actant selon lui la « juste fin » de la mondialisation. Sans Doute est particulièrement heureux de proposer à ses lecteurs en exclusivité et en intégralité les propos de l’ancien ministre du Redressement productif qui détaillent une vision d’ensemble au service d’une idée phare : le protectionnisme est une nouvelle forme de progressisme. Aux lecteurs de Sans Doute de se faire une idée, mais cette démonstration argumentée mérite que l’on s’y penche de très près.

Le mal français : trop de bureaux, pas assez de logements !

Le monde entier, et singulièrement la France, vit une double crise de l’immobilier : trop de bureaux (qui se vident) et des prix qui s’effondrent, une crise du logement faute d’en avoir construit assez. Et à la crise de l’offre est venue s’ajouter la crise de la demande : les logements sont devenus beaucoup trop chers pour être achetés par les classes moyennes et pas suffisamment rentables pour attirer des investisseurs non subventionnés. 

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