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Société

Enjeux économiques et éthiques de la fin de vie !

Le projet de loi sur l’aide à mourir revient en examen au Parlement le 12 mai 2025. Deux propositions de loi distinctes, une sur les soins palliatifs et l’autre sur l’aide à mourir, devraient être examinées et soumises au vote courant mai 2025. La version proposée sur l’aide à mourir reprend une part substantielle des amendements issus des débats parlementaires de 2024. Si ces derniers ont été jugés constructifs, ils ont curieusement ignoré la question économique de la fin de vie et son impact social.

Le goût de l’angoisse

C’est un malaise psychique né du sentiment de l’imminence d’un danger, caractérisé par une crainte diffuse pouvant aller de l’inquiétude à la panique (dictionnaire culturel Alain Rey)… L’Angoisse est au goût du jour. Certes les guerres, les conflits, les constats de changements climatiques apportent au quotidien des sujets de préoccupations mais il est de façon…

Le droit d’asile est devenu un droit « hors sol » 

Au quart-temps du XXIème siècle, on peut sans craindre de se tromper affirmer que l’immigration est pour les démocraties libérales un sujet existentiel.  De mauvais choix politiques en ce domaine peuvent causer leur perte et ce sujet figure en bonne place parmi les grands défis que ces démocraties doivent relever.  Non pas par crainte d’un hypothétique « grand remplacement », mais pour résister aux coups de boutoir des populistes, extrémistes, aventuriers et autocrates de tous poils. 

Le train de la colère

Quatre cents, ils étaient quatre cents en arrivant en gares, Austerlitz pour ceux partis de Cahors, Brive la Gaillarde ou Limoges, gare de Lyon pour ceux de Clermont Ferrand, Vichy, Moulins ou Nevers, quatre cents venus clamer leur colère contre l’état (et l’Etat ?) des deux pires lignes laissées à l’abandon par la SNCF, rebaptisée pour la circonstance « Société Nationale des Corails Fatigués » sur les banderoles brandies par des voyageurs exaspérés.

Le monde d’après, mais lequel ?

Cinq ans déjà, presque une éternité ! Face à un virus venu de Chine, un vent de panique s’est emparé des dirigeants mondiaux — États autoritaires et démocraties libérales confondus — et des populations, terrifiées par les images venues d’Asie ou d’Italie.

Le mélange des genres

Sachant assez vite qu’une vie s’achève toujours de la même manière pour tout humain, nous avons besoin de fantaisie pour donner de la légèreté à des jours ou des moments difficiles. Il y a donc sur les écrans de la place pour le rire, la dérision, l’humour en toute liberté, l’émotion, l’aveu de faiblesse…la vantardise, pourquoi pas.

Le retour de l’antisémitisme de gauche 

Le 25 mars, à l’Assemblée nationale, la ministre Aurore Bergé s’est gravement exprimée sur l’antisémitisme ; affirmant que « l’antisémitisme en France, aujourd’hui, ce sont deux chiffres et trois lettres ; deux chiffres : 1570 actes antisémites en 2024 […] et trois lettres : LFI ».

Quelle étrange semaine !

Le dernier vendredi de février, nous assistions, stupéfaits, retransmise en mondovision, à l’incroyable altercation entre Volodymyr Zelinsky et Donald Trump accompagné de son aboyeur en chef, J.D. Vance, manifestement agacé par la tenue vestimentaire de son visiteur. Patatras, les grands de ce monde interloqués réagissaient aussitôt au coup de tonnerre brutal et inattendu – encore que ! – provoqué dans le bureau ovale de la Maison Blanche par le Président américain, décidément imprévisible – deuxième encore que !-.

Oupette était fin prête 

Jean Brousse ne pouvait pas rater ce rendez-vous du Salon de l’Agriculture. Notre poète des collines et des plaines, des fêtes au village et des rencontres au foirail, n’a pas attendu pour se promener entre les régions et les stands d’une ruralité qu’il ne se lasse pas de contempler. Et puis Oupette ne pouvait le laisser insensible. Une Limousine, pensez-vous ! Même venue de Poitiers, elle n’est jamais loin d’Uzerche et de ses contreforts.

Anne, ma sœur Anne, entends-tu les féministes ?

Où sont-elles, depuis le 7 octobre ?… Où sont-elles les « camarades » de l’avocate Michelle Dayan qui a consacré sa carrière à défendre les femmes, toutes les femmes ! Au-delà des clivages, de toutes les opinions ou de toutes les sensibilités. Elles sont absentes. Le parvis des Droits de l’Homme est vide de toute solidarité. Notre époque a la compassion sélective et la fracture idéologique de plus en plus importante.

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