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Politique

Après Le Pen, qui sera candidat en 2027 ? 

Les traits tirés, la bouche pincée, Marine Le Pen fustige sur le plateau de TF1 une “décision politique”. Interrogée sur la question de l’après, elle estime que lancer Jordan Bardella 2027 serait “user de cet atout plus tôt qu’il n’est nécessaire”, tout en se replaçant au centre du jeu : “je ne vais pas me laisser éliminer” comme pour prévenir sa garde rapprochée, il n’est pas venu le temps du grand remplacement.

N’opposons pas la volonté populaire à l’Etat de droit 

La peine d’inéligibilité prononcée en première instance contre Marine le Pen dans l’affaire des assistants parlementaires domine le débat politique de ce début du mois d’avril, et l’un des aspects de ce débat consiste à interroger le principe de l’inéligibilité et de son exécution provisoire comme attentatoires à la souveraineté populaire en restreignant la liberté de choix des électeurs.

Branchons le Turgot ! 

Faut-il repenser notre gouvernance pour éviter l’impensable ? Face à une dette qui s’emballe et une économie sous tension, la France s’approche d’un tournant critique. L’investisseur David Baverez interroge notre capacité à réformer avant qu’il soit trop tard.

Mécontentement et méfiance sociale expliquent-ils le populisme ?

Dans une contribution pour le World Happiness Report 2025 ( World Happiness Report , chapitre 7 ), réalisée en collaboration avec Yann Algan (HEC, Cepremap), et Corin Blanc (Cepremap, Université Paris-Nanterre), nous expliquons comment le déclin du bonheur et de la confiance sociale, en Europe comme aux États-Unis, engendre une grande part de l’augmentation de la polarisation politique et des votes anti-système.

Lutte contre l’antisémitisme: ne jamais cesser le combat

Jeudi 13 février, se tenaient à la Maison de la Radio, les Assises de lutte contre l’antisémitisme, voulues par la ministre Aurore Bergé. Celle-ci a toujours clairement affiché sa volonté dans ce combat. Nulle opération de « com » dans cette affaire mais une sincérité et une réelle envie de sauvegarder ce qui peut l’être.

Pour une réforme anti-institutionnelle 

Avec des institutions en panne, la France cumule les handicaps. Pour l’essayiste David Baverez, investisseur à Hong Kong, seul un gouvernement d’experts, affranchi des logiques partisanes, pourra engager le sursaut nécessaire. L’histoire prouve que c’est possible. Encore faut-il l’oser. 

Gouverne-t-on autour des sentiments ?

Un vieil adage dit que l’on ne fait pas de bonne politique avec de bons sentiments. Doit-on pour autant faire de la politique, et plus encore gouverner, avec des sentiments négatifs, ou des sentiments tout court ? Le Premier ministre a provoqué de fortes réactions en évoquant sur LCI, à propos de l’immigration, un « sentiment de submersion ». Puisqu’ici ce sont beaucoup les mots qui font débat, il importe d’en restituer la teneur exacte.

La démocratie impose de mieux respecter les élections ! 

Le Gouvernement s’essaye à négocier le budget 2025 avec les partis. Mais ni le Premier ministre, ni le ministre des finances ni la ministre des comptes publics n’ont été légitimés par l’élection. Pour retrouver un meilleur fonctionnement de la démocratie, il conviendrait d’après Frédéric Lemoine de mieux respecter le vote des citoyens.

Le résultat résulte …

« Un poète est un monde enfermé dans un homme », Victor Hugo. Où que porte son regard, quel que soit l’événement qui accapare son attention, en dépit de ses propres convictions, un poète fait sien ce qu’énonce le grand écrivain. Notre cher Jean Brousse ne fait pas exception à la règle. Il propose une version poétique de notre actualité. Un regard libre de toutes contingences. Avec, pour seul parti-pris, ses chères collines corréziennes. Y compris quand il s’agit d’évoquer ce début d’année politique, pas vraiment des plus rassurantes…

La priorité des priorités pour le gouvernement Bayrou ? L’armée ! 

Dans quelques jours maintenant, ce sera l’heure de vérité pour François Bayrou et, par contre-coup, pour les Français. Une fois de plus, politiques et citoyens seront attentifs à une possible alliance des extrêmes dont on ne sait, cette fois, quelles conséquences et quel chaos cela pourrait engendrer. Homme d’expérience le Premier ministre devrait trouver la bonne ligne de crête pour, in fine, dépendre le moins possible de tous les « Raminagrobis » qui le guettent. Reste que, passé cet écueil, un autre se profilera : où sont les priorités ? Pour notre contributeur, Robert Dujarric, une évidence s’impose : renforcer nos capacités militaires.

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