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Il ne faut pas se faire d'illusion : Trump ne sera jamais du côté des démocraties. Elles ont trop d'éthique et d'humanisme, bien loin du seul dieu qu'il chérit et vénère : le fric. Et cela, seul un Poutine qui pille sans vergogne les richesses de son peuple, peut le lui offrir. Après la découverte des méthodes douteuses de son ami Steve Witkoff, Robert Dujarric, donne, pour Sans doute, une démonstration sans appel.
« Something is rotten in the state of Denmark, » ("Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark") apprenons-nous lors des représentations d'Hamlet (Acte I, scène 4). Ceci s'applique, à la puissance dix, aux États-Unis de Trump. Sa gouvernance se fonde sur l'affairisme de bas étage et conduit à une forfaiture de la Constitution et des intérêts américains dans un décor de télé-réalité.
À moins d'appuyer immédiatement après la rédaction d'un article sur le bouton « publier » il est impossible de commenter les propositions de « paix » trumpiennes en Ukraine. Elles changent, sans logique apparente, à une rapidité défiant toute concurrence. Il existe, cependant, plusieurs explications partielles de la position américaine.
La première est étayée par l'enquête du Wall Street Journal « Make Money Not War : Trump’s Real Plan for Peace in Ukraine » ( Enrichissez-vous, ne faites pas la guerre : c’est le véritable plan de Trump pour la paix en Ukraine")
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