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Jusque dans les année soixante-dix, le Tennis semblait un sport « réservé ». Comprenez, peu accessible à tous. Puis, la fin des « Trente Glorieuses » accompagnait une prospérité et de nouveaux horizons. Le Tennis n’était plus ce sanctuaire réservé à une élite. Mais, cette ouverture au monde imposait aussi l’exigence de performance. Il en allait de l’honneur de la France et de ses Mousquetaires. Ils avaient ouvert la voie dans les années vingt. Aux suivants de relever le gant. Volens nolens, Le journaliste Thibault Le Rol nous montre que c’est possible.
Ce tournoi de Bercy devait être celui d’un adieu. Le moment était venu pour Richard Gasquet d’y jouer pour la dernière fois avant de prendre sa retraite à Roland-Garros l’an prochain. Un dernier tour de piste avec quelques ultimes merveilles de revers au passage. Pour le plaisir. L’ambiance était donc à l’hommage et à la nostalgie. Après Tsonga et Simon, et en attendant Monfils, c’est notre « petit Mozart » qui s’apprête à raccrocher amplifiant ainsi le sentiment d’une sacrée page qui se tourne. Ces quatre lascars auront quand même été membres du Top 10 en même temps ! Une prouesse que l’on jauge mieux aujourd’hui…
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