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La fête fut même très belle. Une belle fête populaire avec un public toujours aussi passionné et émerveillé au rendez-vous. Le Salon du Bourget, qui s’est tenu la semaine dernière, plus grand salon aéronautique du monde (2400 exposants de 48 pays, 155 aéronefs), a néanmoins traversé quelques turbulences. Il a su les surmonter dans un contexte plus complexe que jamais. Alors, vive l’avion !
Sous un soleil plus que bienveillant, quoique à la limite du caniculaire, avec force guirlandes de fanions et lampions, un public familial se trémoussant aux sons de musiques et percussions brésiliennes ou afro-cubaines le jour de la Fête de la Musique, sous les vrombissements du Rafale et les acrobaties aériennes de la Patrouille de France, la fête de l’aviation qu’est le Salon du Bourget a été indéniablement une très belle fête populaire.
Ce fut, sur un plan professionnel, également une belle édition, la 55ème, du célèbre rendez-vous des années impaires qu’est le Salon International de l’Aéronautique et de l’Espace (SIAE), situé sur l’aéroport du Bourget. Et pourtant, les observateurs anticipaient une édition contrastée, compte tenu du contexte complexe de l’industrie aéronautique et spatiale. Le Bourget a réussi à surmonter les épreuves, même s’il s’en est fallu de peu que la fête soit sérieusement gâchée.
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