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C’est la fête au village, à Treignac, bourg médiéval au bord de la Vézère, ancien chef-lieu de canton, le siège de la nouvelle communauté de communes née de l’esprit fécond de quelque décentralisateur patenté, « petite cité de caractère », ex « plus beau village de France », à quelques encablures de mon jardin.
Chaque année, le dernier week-end de juin, la fête votive inaugure l’été, annonce les grandes vacances et le long défilé estival des fêtes de villages. Les manèges se sont installés place de la République, la grand-place du village, et devant la chapelle des Pénitents blancs. Les auto-tamponneuses le disputent aux stands de tir où l’on gagne une peluche sans même avoir réussi à transpercer un ballon. La pêche aux canards attire les plus petits, les loteries proposent des lots de rêve. « Une belle poupée pour le beau militaire, trois tickets pour cinq euros … Encore gagné … »
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