Au quart-temps du XXIème siècle, on peut sans craindre de se tromper affirmer que l’immigration est pour les démocraties libérales un sujet existentiel. De mauvais choix politiques en ce domaine peuvent causer leur perte et ce sujet figure en bonne place parmi les grands défis que ces démocraties doivent relever. Non pas par crainte d’un hypothétique « grand remplacement », mais pour résister aux coups de boutoir des populistes, extrémistes, aventuriers et autocrates de tous poils.
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