C’est un vrai mystère. Simple quidam, accoudé au soir tombant, à la passerelle d’un paquebot, dans des croisières pas toujours respectueuses de leur environnement, ou seul sur son voilier, affrontant les océans et les vagues jalouses de leur territoire d’eau, la mer fascine. Elle a comme une part d’infinie. Tout comme l’espace, elle donne une forme de vertige. C’est ce que doit ressentir Éric Bellion qui, avec ses adversaires – et compagnons du Vendée Globe, est maintenant de l’autre côté des hémisphères.
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