Il était l’homme qui, comme Socrate vingt-cinq siècles plus tôt, voulait tracer son chemin en dehors des coteries et alliances parfois délétères. Il cherchait une parole autre. Face à lui : des calculs plus que des convictions. A-t-il éprouvé un vertige devant « l’Himalaya de difficultés » qu’il évoquait au début de son chemin de croix ?… Reste de profonds regrets, comme l’évoque Benjamin Djiane dans la tribune qu’il signe pour Sans doute ce matin.
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