Partager cet article
Depuis plus de 130 ans, les « forçats de la route » ont toujours suscité l’admiration de la foule. Un engouement augmenté, pour les plus forts, d’être immortalisés par un surnom qui, en sous-jacent, exprime le respect pour un sportif dont l’impératif est de toujours dépasser ses limites. Les actuels champions sont des dignes successeurs de cette admiration jamais démentie, comme le souligne Guillaume Cerutti.
La saison cycliste professionnelle s’est achevée samedi avec le Tour de Lombardie, et une nouvelle (et écrasante) victoire de Tadej Pogacar. Cette année encore, les superlatifs manquent pour qualifier les performances du champion slovène, victorieux 25 fois depuis le mois de mars. Le plus retentissant de ses exploits aura été de s’imposer entre mai et septembre au Giro d’Italia, dans le Tour de France et lors du championnat du monde, une trilogie que seuls le “Cannibale” Eddy Merckx il y a 50 ans et l’Irlandais Stephen Roche en 1987 avaient réalisée auparavant.
Article réservé aux abonnés
Pour lire la suite, abonnez-vous
Profitez d'un accès illimité à l'ensemble de nos contenus en ligne et toutes nos newsletters.
Découvrir nos abonnements