Alors que la Commission est entrée en fonction il y a quelques mois, les politiques européennes, comme il est logique, sont questionnées. Parmi elles, la politique de la concurrence, cœur fédéral de l’UE avec la politique monétaire, pour les pays de la zone euro, et la politique commerciale. A cette aune, la politique européenne de…
Le mercredi 2 avril 2025, les Etats-Unis ont décidé de relever massivement leurs droits de douane, déclenchant une puissante onde de choc économique. A combien ces droits de douane s’élèveront-ils finalement ? Nul, pas même Donald Trump, ne le sait. Quoi qu’il en soit, si dans un premier temps certains secteurs comme les semi-conducteurs ou les produits pharmaceutiques semblaient pouvoir être épargnés, il semble que ce ne sera finalement pas le cas.
Si l’on met la démagogie usuelle de côté, l’on voudra bien admettre qu’en France, plus qu’ailleurs, pays construit par et autour de son État, les hauts-fonctionnaires ont une responsabilité particulière dans les succès et les échecs nationaux. Et au moment où l’on fait mine de découvrir que la productivité est la condition essentielle de la croissance, alors que notre pays est déboussolé, posons-nous quelques questions simples.
Le 17 février, à la demande de la France, plusieurs États de l’Union européenne (UE) se sont réunis. Leur objectif : tenter d’organiser un début de réponse européenne après la conférence sur la sécurité tenue à Munich trois jours auparavant qui a vu les Etats-Unis, au travers du discours du Vice-Président Vance, affirmer sans ménagement la volonté américaine de trouver rapidement une solution au conflit russo-ukrainien. Le cas échéant sans que les Européens aient leur mot à dire.